samedi 14 août 2010

Surströmming

Heute war der JB bei den Landehemännern eingeladen. Die Landehemänner hatten u.a. einen Schweden dabei, der aus seiner Heimat diesen marinierten Herring aka surströmming mitgebracht. Der JB hatte nie surströmming gegessen und möchte gerne probieren, obwohl er schon wusste, dass es e-c-k-e-l-h-a-f-t ist. Es wurde also mit schwedischen Manieren gegessen, das heisst, und nicht wie auf dem Video: ohne Haut und Kreten, mit Brot und Butter, mit roten Zwiebeln, ob man das wollte und mit Kartoffeln. Alles kalt.
Erst sehen wir, wie die Deutsche hier auf das Video reagiert haben, dann erzählt der JB, wie er reagiert hat.

Aujourd'hui, JB était convié chez les maris paysans. Les maris paysans avaient entre autres personnes invité un Suédois. Lequel avait rapporté de son pays natal ce hareng mariné plus connu sous le doux nom de surströmming. JB, qui n'avait jamais mangé de surströmming à ce jour, ne rechigne jamais à goûter de nouvelles spécialités culinaires même si, en l'espèce, il savait que le surströmming est d-é-g-u-e-u-l-a-s-s-e (et il pèse ses mots). Et donc on a mangé à la suédoise et non, comme le font les Allemands dans la vidéo: sans la peau ni les arêtes, avec du pain et du beurre, des oignons rouges si on veut et des pommes de terre. Le tout, froid.
On regarde d'abord comment les Allemands réagissent dans la vidéo ci-dessous, puis JB raconte comme lui il a réagi.



JB tient à apporter un démenti: non, le surströmming ne sent pas la merde. Ce n'est pas vrai. Ça pue juste le poisson pourri, rien de plus. Et c'est une odeur, qui imprègne tout: les narines, la bouche, les mains. Quelque partie du corps qui ait été en contact avec le surströmming est condamnée à puer le surströmming pendant des heures.
Der JB möchte streng etwas dementieren: nein, surströmming riecht nicht nach Scheisse. Das ist unwahr. Es stinkt nur nach vergammeltem Fisch. Und ausgerechnet dieser Gestank leht sich auf alles: die Nase, den Mund, die Hände. Egal welcher Körperteil, der im Kontakt mit surströmming war, wird definitiv stundenlang nach surströmming stinken.

Dennoch dachte der JB: ach, was! Nimm doch einige französische Käsen, die stinken auch (und wie!) aber beim Geschmack sind sie prima. Also: rein damit!
Néanmoins, JB songeait: allons allons! Prenons certains fromages français, ils ont une odeur répugnante mais au goût sont loin d'être infects. Or donc: on avale.

Avaler, avaler… C'était beaucoup demander. JB a quitté la table précipitamment et est tout allé recracher. Cette nourriture est une infamie. Plus jamais on ne l'y reprendra, JB. Ja-mais!
Rein damit, rein damit… So einfach war das jar nüsch. Der JB verliess plötzlich den Tisch und ging alles wegspucken. Dieser Frass ist einfach das reine Schreck und Grauen. Niemals wird der JB sowas noch probieren. Niiie!

Man verabschiedet sich mit einem süssen Lied von Juliette Gréco (anno 1966) über einen Fisch, der ein Vogel liebt (und umgekehrt), ein Lied sogar a bisserl lesbisch noch dazu.
On se quitte sur cette mignonne chanson de Juliette Gréco (anno 1966) même un peu lesbienne sur les bords et sur les côtés.

 Juliette Gréco - Un Petit Poisson, Un Petit Oiseau .mp3
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