mardi 27 avril 2010

Nobody knows

Et encore un lapsus, un! Et pas piqué des hannetons, çui-là!

Je dois traduire ça:
Jusqu’à ce que je prenne conscience (…)
Et je me vois écrire ça:
Jusqu’à ce que je prenne confiance (…)

Puis je me dis: voilà pourquoi j'avance pas dans cette traduction.

Alors, puisque "et la vie… c'est la vie…", on va écouter Winston Shands.

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