samedi 30 janvier 2010

La visite et le visionnage kurtesques

Consécutivement au commentaire de Lyly sur mon escapade dans le pays des vaches violettes et du fromage à trous, ma visite kurtesque, dixit (j'adooore - en norvégien ce serait tout aussi bien: kurtsk besøk) - je me rends compte que j'ai oublié de dire que j'arpentais les routes, les montagnes, les vallées et les écoles de lâ Suiiisse à cause de Kurt. Alors, pour tous les petits Suisses, non on va pas la faire celle-là, elle est trop fastoche et trop bêtassonne. On recommence:
Alors, pour tous les enfants, grands et petits, de Suisse et du Jura, la bande-annonce du dessin animé réalisé à partir de deux livres sur Kurt, sorti en Norvège en 2008, et qui attend toujours une diffusion francophone. Enjoy!





01022010
Et encore une fois grâce à Lyly, je peux montrer cette photo. Eh ouais, c'est mon écriture sur le tableau de Me Enderlin (et, sottement, à cause de la rime,  le nom me fait penser au Général Fifrelin dans l'album 8ème Ciel de Philippe Katerine, quand il chante Lorsque je joue à la poupée - bref [et du même coup ça me rappelle cette anecdote qui remonte à une bonne dizaine d'années: on écoutait , dans la voiture avec mon père, L'éducation anglaise du même Philippe Katerine, quand il s'appelait encore Katerine uniquement. Lui: C'est pas mal… C'est qui? Moi: Katerine. Lui: Catherine? Mais c'est un homme qui chante! Moi: Oui, il s'appelle Katerine. Avec un K et sans le H. Lui: Ah… Moi: Enfin, il s'appelle Philippe Katerine. Katerine c'est son nom. Lui: Son nom ou son prénom? Moi: Hm… Les deux… Mais plutôt son nom, en fait. Et juste avant lui, tu sais, la femme qui chantait? Lui: Oui? Moi: Eh bien elle, elle s'appelle Bruno. Lui: Bruno? C'est son nom ou son prénom? Moi: Son prénom. Lui: Hm… - et on dirait presque un dialogue d'Erlend Loe, histoire de mieux boucler la boucle] fin de la looongue parenthèse crochetée). Donc, re: Tusen takk (= mille mercis = merci beaucoup) à ladite et très chère Me Enderlin ainsi qu'à ses élèves et: Ha det! (= au revoir, ou plutôt, et par contradiction du godt qui suit = portez-vous bien) et j'ajouterai: vi sees (= on se revoit = à bientôt), du moins ça me déplairait pas.

© Lyly

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